S E M I N A I R E autour de Toni Negri

Ecouter l’exposé de : André Orléan et les interventions de Patrick Dieuaide et Antonio Negri
« Qu’est-ce que penser à gauche, aujourd’hui ? »
Séminaire 2007-8 Université Nomade, Collège International de Philosophie.
Réflexions sur le capitalisme financier .

Ecouter l’exposé de : Christian Marazzi et les interventions d’Antonio Negri,
Giorgio Griziotti, Thierry Baudouin, Anne Querrien, Alain Bertho, Patrick Dieuaide.
« Qu’est-ce que penser à gauche, aujourd’hui ? »
Séminaire 2007-8 Université Nomade, Collège International de Philosophie.
Forme du conflit dans le capitalisme financier.

Ecouter l’exposé de : Sandro Chignola et les interventions de Michèle Collin, Thierry Baudouin, Bernard Guibert et d’Antonio Negri.
« Qu’est-ce que penser à gauche, aujourd’hui ? »
Séminaire 2007-8 Université Nomade, Collège International de Philosophie.
Gouvernance, gouvernementalité, liberté : rearticulations de l’espace politique

Ecouter l’exposé de : Giorgio Griziotti et Jean-Louis Weissberg avec l’intervention d’Antonio Negri.
« Qu’est-ce que penser à gauche, aujourd’hui ? »
Séminaire 2007-8 Université Nomade, Collège International de Philosophie.
Réseaux, Internet et Communautés du WEB

Présentation du projet du séminaire : Le programme Devenir banlieue est un programme de séminaire et de recherche action sur la nouvelle subjectivité politique métropolitaine. C’est un programme partenarial associant chercheurs, élus, professionnels et acteurs de terrain dans une coproduction de savoirs sur des pratiques et des situations urbaines contemporaines.
Séminaire : « DEVENIR-BANLIEUE SUBJECTIVITE POLITIQUE ET RESEAUX METROPOLITAINS »
Pour plus d’infos sur le séminaire Cliquez (…)

La rente foncière et la pression sur l’habitat se présentent bien comme une des figures générales des tensions métropolitaines. La valorisation du territoire par la créativité des acteurs métropolitains génère des richesses non directement valorisée sur le marché. La captation de ces richesses passe par la rente qui devient une des figures directe de l’exploitation urbaine. Les premières victimes de cette valorisation risque alors d’être ceux qui en ont été les principaux acteurs. La (…)

Penser la métropole comme un lieu essentiel de la production post-fordiste
implique de s’émanciper des paradigmes de la société industrielle d’une double façon. D’une part, l’ancienne domination des formes usine et Etat pour réguler une activité économique à la fois nationale et industrielle est dépassée par la circulation mondiale. De l’autre, les fonctionnalités séparées entre l’économique, l’urbain, le culturel ou le politique sont remplacées par de nouveaux processus de coopération et (…)

A ce niveau, le mouvement des Banlieues peut nous indiquer une direction d’analyse, si l’on sait y regarder : Se cristalliserait au cœur des Métropoles, une sorte de dialectique du Social et du Spatial, susceptible de nous éclairer sur les nouvelles configurations productives, les nouvelles conflictualités et les nouveaux modes de mise en valeur des capitaux.
Travailleurs cognitifs, usagers, collectifs occupants : trois figures, trois entrées possibles pour "requalifier" les luttes et les (…)

Quelques éléments de réflexion sur la composition socio- politique de ce cycle métropolitaine de luttes.
Les émeutes des banlieues de l’automne 2005, puis la mobilisation des étudiants et des jeunes précaires qui a traversé la France le printemps 2006, présentent des indiscutables éléments de continuité et ont ouvert une crise majeure du mode de régulation néolibéral du capitalisme cognitif. Cette intervention, après avoir livré quelques éléments de réflexions sur les conditions objectives (…)

L’infléchissement des politiques scolaires publiques ainsi inauguré par la politique ZEP, qui met en avant le double objectif de démocratisation de la réussite scolaire et d’amélioration de l’efficacité de l’École, est censé remédier aux carences des politiques éducatives des année 1960-1970, lequelles, élaborées et pilotées depuis le niveau étatique, exprimaient les luttes et contradictions sociales concernant la démocratisation.
Le travail cognitif est un espace de flux ou (…)